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Photo : Seneweb.com

Bonjour ! Pour ne rien rater de l’essentiel de l’actualité, faites confiance à SeneWeb. Voici le point du mercredi 4 mai.

Abdoulaye Wade – «Le Président Wade a bien noté les déclarations de Macky Sall. (Il) ne sera jamais un obstacle à un dialogue entre le pouvoir et l’opposition.» Telle est la réaction du pape du Sopi à la main tendue de son successeur à la tête du Sénégal, rapportée par Madické Niang, hier à Touba, en marge de la commémoration de la disparition de Serigne Bara Mbacké Fallilou. L’ancien ministre des Affaires étrangères précise, au nom de Wade, que le dialogue ne devrait pas se limiter à un rapprochement entre l’APR et le PDS, mais à des discussions avec toute l’opposition, le cas échéant. Et d’ajouter : «Quand la demande sera faite par le Président Macky Sall, (Wade) consultera ses alliés et il aura à se prononcer.»    

Coumba Gawlo-Karim – La chanteuse Coumba Gawlo Seck invite le Président Macky Sall à accorder la grâce à Karim Wade. Elle assure qu’une telle initiative est la condition d’une normalisation des relations entre Macky Sall et son prédécesseur, Abdoulaye Wade. Passage obligé pour l’installation au Sénégal d’un «un climat politique et social apaisé», son vœu le plus cher exprimé dans un communiqué remis à la presse.

Imam Ndao – «Je ne suis pas un terroriste», s’est défendu Imam Alioune Ndao hier face au Doyen des juges. Arrêté chez lui à Kaolack au mois de novembre dernier et placé sous mandat de dépôt, il est poursuivi, en même temps que d’autres personnes dont deux dames, pour association de malfaiteurs, relation avec une entreprise terroriste, actes de terrorisme par menace et complot, apologie du terrorisme, financement du terrorisme, blanchiment de capitaux dans le cadre d’activités terroristes en bande organisée. Il a nié toutes ces charges. Clamant devant le juge qu’en tant que musulman, il est adepte de la paix. En détention préventive à Saint-Louis, Imam Ndao et ses co-accusés ont été transférés à Dakar pour leur audition. Celle-ci ne devrait pas durer plus d’une semaine.

Galère d’experts de la CREI – L’État doit près de 500 millions de francs CFA aux experts de la CREI sollicités dans le cadre de la traque des biens mal acquis. Il s’agit de spécialistes en finances, en immobilier, en automobile, notamment, dont les lumières ont guidé les juges dans la conduite des dossiers Karim Wade, Tahibou Ndiaye, Abdoulaye Baldé, Aïda Ndiongue, entre autres. Selon Libération, qui rapporte l’information, ces experts ont le moral dans les chaussettes et ne seraient pas près de recommencer avec l’État pour d’autres instructions. 

Saint-Louis Jazz – Le festival annuel qu’accueille depuis 24 ans, l’ancienne capitale de l’ex-AOF n’aura pas lieu en 2016. Du moins si l’arrêté du préfet interdisant la manifestation, prévue du 11 au 16 mai, est maintenu. Raisons invoquées : refus des organisateurs de contribuer à la prise en charge du volet «Sécurité» alors que la menace terroriste qui plane nécessite de gros moyens. Le président de l’Association «Saint-Louis Jazz», Ibrahima Diop, réfute ces accusations. Il estime que les 15 millions que leur réclament les autorités ne sont pas à la portée des organisateurs. À preuve, jure-t-il, à quelques jours de l’ouverture, le budget de 214 millions n’était bouclé qu’à 25%. Diop espère toutefois faire revenir le préfet sur sa décision. Laquelle, si elle est maintenue, risque d’être un coup dur aux plans économique, social et culturel.

Hippopotame-tueur – Aly Fall, un pêcheur qui avait installé son filet dans le fleuve Gambie, à Gouloumbou, localité située à 28 kilomètres de Tamba, a été attaqué par un hippopotame. L’incident s’est déroulé hier, mardi 3 mai, aux aurores, selon L’Observateur. Le pauvre pêcheur, mordu à plusieurs reprises par l’animal, s’en est sorti avec de graves blessures : cuisse gauche déchiquetée, celle de droite touchée, ainsi que son tibia, son ventre et ses côtes. Il pêchait dans les eaux du Fleuve en même temps que son camarade d’infortune Oumar Sabaly, sauvé, lorsque l’hippopotame a renversé leur pirogue. À Gouloumbou, les populations vivent dans la psychose des attaques de l’hippopotame qui compte désormais 24 victimes. Des morts ou des blessés graves.

Y’en a marre – Le prix «Ambassadeur de la conscience» d’Amnesty International a été attribué cette année conjointement à la chanteuse béninoise Angélique Kidjo et aux activistes Y’en a marre (Sénégal), Balai citoyen (Burkina) et Lutte pour le changement (RD Congo). Les lauréats recevront leurs distinctions le 28 mai à Dakar.

Démission – Abdou Khafor Touré n’est plus membre du PDS. Il a annoncé sa démission hier, dans un communiqué remis à la presse. L’ancien membre du Comité directeur de ladite formation politique invoque «l’immobilisme et la volonté de maintenir le même système qui a conduit à la douloureuse défaite de 2012».  

Cheikh Kanté-Lamine Diallo – Second revers du leader du mouvement Tekki face au directeur général du Port. En effet, la cour d’Appel de Dakar a confirmé, hier, la condamnation, en première instance, de Mamadou Lamine Diallo, reconnu coupable d’avoir diffamé Cheikh Kanté.

Burundi-Sénégal – La Fédération sénégalaise de football n’est pas rassurée et entend exposer ses inquiétudes. Devant la décision du Burundi de faire jouer le match qui l’oppose au Sénégal, le 4 juin prochain (qualifications CAN-2017), à Rumongué, à 70 Km de la capitale, l’instance dirigeante du foot national projette d’introduire un recours auprès de la CAF pour que la rencontre se tienne à Bujumbura. Rentrée du Burundi, la mission d’inspection (ministère-fédé-staff technique) se dit inquiète de l’état chaotique de la route menant à Rumongué, de l’absence sur place d’infrastructures sportives et hôtelières. Sans compter le climat politique délétère dans ce pays.

 



9 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (08:47 AM)
    Touche pas à la création casamacaise Macky sall sinon le feu brûlera pour toujours
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  2. Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (08:48 AM)
    Cote casamacaise plutôt
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (08:52 AM)
    Karim Wade, le pire ennemi du bas peuple !



    Les Sénégalais l’ont connu au lendemain de la victoire de son père en 2000. En effet, Abdoulaye WADE fut porté à la magistrature suprême par les sénégalais avec beaucoup d’espoir. Les premiers mois de sa gouvernance auguraient des lendemains meilleurs pour le Sénégal et une amélioration des conditions de vie des sénégalais. Mais malheureusement, Wade père avait pris l’option de se départir de ses alliés qui avaient combattu avec lui au 2e tour en 2000. Ainsi, ils sont tous chassés du gouvernement pour céder la place aux jeunes libéraux qui devront désormais gérer les affaires de la cité.



















    Après quelques années, Karim WADE fit son apparition dans le gouvernement avec plus de quatre ministères stratégiques que son père lui confia au moment ou de valeureux fils du pays très compétents peinent à trouver leur premier emploi. C’est le début d’une bamboula inqualifiable.







    Avant même d’atterrir dans le gouvernement, Il effectuait de fréquentes navettes entre Londres et Dakar, puis décide en 2002 de s'installer au Sénégal pour travailler dans l'administration de son père. Il est nommé conseiller personnel du président de la République, chargé de la mise en œuvre de grands projets, tels que le futur Aéroport international Blaise Diagne (AIBD) prévu à Diass, la restructuration des Industries chimiques du Sénégal (ICS) ou la mise en place d'une zone économique spéciale intégrée dans la capitale, devenant ainsi son homme de confiance, son expert financier, son watchdog – selon la formule d'Abdoulaye Wade lui-même.







    Pendant cette période, c'est-à-dire avant son entrée dans le gouvernement, il a su profité de son expérience de banquier pour faire d’importants placements dans les paradis fiscaux pour s’assurer, lui et sa famille, d’une retraite dorée au moment ou les sénégalais sont dans l’attente d’une atténuation de leurs nombreuses souffrances. Pendant 7 ans, il a réussi à sécuriser toute la fortune qui devra tenir en vie sa famille pendant plusieurs années.







    En juin 2004, il est nommé président de l'Agence nationale de l'Organisation de la conférence islamique (ANOCI) avec pour mission de préparer et d'organiser le onzième sommet de l'OCI devant réunir quatre ans plus tard à Dakar les responsables de 57 pays musulmans avec un budget de plus de 432 milliards.







    Ce fut l’occasion rêvée pour renflouer davantage les comptes de la famille par de nombreuses surfacturations opérées sur les chantiers de l’ANOCI. En effet les 7 km de route qui étaient facturés à 22 milliards de FCFA ont finalement couté 40 milliards 28 millions de FCFA sans compter les travaux d’embellissement qui ont couté 623 millions de FCFA au contribuable sénégalais avec des cocotiers à 1 million de FCA l’unité.







    Pour la réception des invités, un bateau dénommé « LA MUCISA » a été pris en location pour un cout de 3 milliards pour seulement 15 jours. Cette manne financière a été directement puisée des caisses du port autonome de Dakar sans l’aval du conseil d’administration.







    En 2009, après qu’il fut nommé ministre d'État, ministre de la Coopération internationale, de l'Aménagement du territoire, des Transports aériens et des Infrastructures, il avait en charge le fameux Plan Takkal ou il a, entre 2011 et 2012, dépensé 120 milliards FCfa en combustibles et 30 milliards FCfa pour la location de groupes électrogènes au détriment des investissements structurels attendus. Aussi, en 2011, le fonds a emprunté auprès de la Banque atlantique du Sénégal, un montant de 34 milliards FCfa qu’il a rétrocédés à la Senelec aux conditions de l’emprunt, pour lui permettre d’apurer ses arriérés vis-à-vis de la Sar et de la Société International trading oil and commodities (Itoc).







    A cette occasion, des frais et commissions de 815 millions FCfa ont été prélevés au bénéfice de la banque et du «Conseiller financier et lead arrangeur Blackpearl Finance», d’autant que le Commissaire aux Comptes du fonds spécial de soutien au secteur de l’énergie avait contesté le bien-fondé de ces frais et commissions en estimant que l’intervention d’un conseiller financier n’était pas nécessaire dans l’opération.







    Notons aussi qu’en 2007, sous la conduite de Karim WADE, l’Etat du Sénégal signait un contrat à un prix initial de construction estimé à 349 479 101 euros (environ 230 milliards de FCfa) pour la réalisation de l’aéroport international Blaise Diagne. Avant même de sortir de terre, le projet a déjà englouti plus de 500 milliards de FCfa du contribuable sénégalais par un troublant jeu d’avenants. Scandaleux !







    C’est un gouffre à milliards. Un monstre financier qui s’est nourri des deniers publics sénégalais. Sans scrupule, avec voracité. Signé le 3 avril 2007, le contrat de construction, clé en main, d’un nouvel aéroport d’envergure avec le groupe Saudi Bin Ladin, au titre de crédits consentis d’abord auprès de Bnp Paribas et ensuite auprès de 8 institutions financières (Afdb, Afd, Idb, Idc, Sfd, Boad, Icf Debt Pool Llp, Opec Fund), risque aujourd’hui de coûter au Sénégal la peau des fesses par la faute du fils de Wade.







    Je voudrais aussi vous rappeler que Karim WADE avait à sa disposition un jet privé pour assurer ses déplacements personnels à l’étranger et le tout payé encore par le contribuable sénégalais.







    Donc, au moment ou les sénégalais peinaient à joindre les deux bouts, au moment ou les coupures intempestives d’électricité avaient fini de sortir les sénégalais de leurs gonds d’où les émeutes de l’électricité, au moment ou la flambée des prix des denrées de première nécessité avait plongé les sénégalais dans une souffrance accrue, au moment ou les travailleurs de la défunte compagnie Air Sénégal International se sont retrouvés au chômage à cause de sa faute, Karim WADE roulait sur des milliards du contribuable sénégalais. Le peuple ne peut avoir plus grand ennemi que le fils de Wade qui avait reçu les éloges de son père qui lui disait que « je dirai à ta mère que tu as bien travaillé ».







    Bien sûr, il a bien travaillé parce qu’il a réussi à sécuriser le butin familiale qui servira à plus de 10 générations de la dynastie WADE pendant que la majorité des sénégalais vit en dessous du seuil de pauvreté.







    Sénégalaises, Sénégalais, chers compatriotes, l’impunité doit être bannie de ce pays si on veut vraiment atteindre l’émergence.







    Rien ne peut autoriser la mise en liberté de Karim Wade si on prend en compte tout le préjudice évalué à des centaines de milliards qu’il a causé aux sénégalais. Sa place véritable place est en prison jusqu’à ce qu’il accepte de rendre aux sénégalais leurs deniers qu’il a détournés.

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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (10:26 AM)
    Il ne faut jamais capituler, jamais abandonner parce que c'est une forme d'impuissance, la pire des calamités du monde Celui qui mérite les insultes voir une balle dans la tête c'est bien Wade et ses criminels qui croient en lui. :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (10:33 AM)
    Plaidoyer pour le financement des associations et collectivités sociales dans les coins reculés du pays. On demande au gouvernement de proposer, comme en France, une cagnotte sous la forme d'une réserve parlementaire.

    La 'réserve parlementaire'' est un ensemble de subventions d’État voté en loi de finances (budget national du pays) allouées aux parlementaires de l'Assemblée nationale, et qui sert à financer des associations et des collectivités de leur circonscription. Le montant des subventions versées au titre de la réserve parlementaire est soumis aux règles communes à toutes les subventions de l’État : Le montant des subventions ne peut dépasser 50 % du volume des travaux prévus (HT). Elles peuvent compléter d'autres subventions accordées par les collectivités territoriales, mais l'ensemble ne doit pas dépasser 80 % des travaux. ; les critères d’attribution ou de répartition de la réserve parlementaire sont la présence des élus, leur implication dans le travail parlementaire, leur ancienneté et les postes occupés.



    Le seul problème à régler à l'avance: définir des règles de transparence précises. Faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (10:48 AM)
    Au Sénégal nous disposons d’une justice qui fonctionne. (…) Si Abdoulaye Wade doit être poursuivi  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot: 
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    Auteur

    Bravo Mon Camarade,tu As Bien

    En Mai, 2016 (10:49 AM)
    toutes ces bonnes intentions qui se targues d'être de bons offices pour un éventuel rapprochement avec Wade. Si jamais Macky cautionnait cet ignominie qui consiste a accéder aux chantages: c'est-a-dire la libération de Karim s'en sera fini pour lui politiquement. Pourtant ,bien que je ne sois pas un adepte de son parti loin s'en faut ,j'ai toujours soutenu cet acte .Car voyez-vous, Je les ai connu tous les deux: le père qui déteste la contradiction et qui s'arrange toujours pour terminer un débat et le fils qui profitait de la générosité des filles pour se faire payer un resto en l'occurrence chez moi, par ce que tout bêtement Mr n'avait pas assez de TUNES dans les poches. A BAS LES VOLEURS A BAS LES CORROMPUS !.POUR QUE VIVE LE SENEGAL ssbdmds
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (11:04 AM)
    Je considère pour ma part que la défense des deniers publics est prioritaire pour des pays pauvres très endettés comme le nôtre. :frustre:  :frustre:  :frustre:  :frustre:  :frustre:  :frustre: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (11:23 AM)
    Dans un sens moral et plus pratique, l’humanisme impose à tout être humain des interdits fondamentaux au nombre desquels : l’interdit de tuer, de torturer, d’opprimer, d’asservir, de voler, de mentir…, des règles essentielles qui s’appuient sur le respect, la justice et la défense des droits humains fondamentaux.Cette prise de conscience collective s’est traduite d’autre part par la priorité donnée à la lutte pour le développement, la transition démocratique et les principes de modernité dans leurs problématiques diverses.dites plutôt à votre client de rendre l'argent volé au pauvre peuple sénégalais  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot: 
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